Le long de la rivière Yulong
Aujourd’hui, nous avons fait une belle balade le long de la rivière Yulong.
Nous nous sommes arrêtés dans une rizière pour observer des agriculteurs. Certains étaient en train de passer la charrue avec des water buffalos (sorte de vache gris-marron avec de grosses cornes) et d’autres de mettre en forme les bottes de paille. L’un des agriculteur a même passé la main à Pierre pour labourer, mais le test n’a pas été concluant, le water buffalo voulait quitter le champ ! Ils étaient amusés de nous voir les observer.
Puis nous avons longé la rivière pendant une quinzaine de kilomètres. Heureusement sur le chemin, nous avons rencontré une chinoise qui nous a guidés dans les chemins serpentant la plaine.
Puis nous avons monté dans les terres, et monté n’est pas un vain mot ! Sur des chemins de mauvaise qualité, nous nous retrouvons dans un no man’s land bordé de rizières et de plantations de clémentiniers. Heureusement qu’il y avait des habitations de temps en temps pour nous indiquer le chemin. Après une dizaine de kilomètres de chemins abrupts et non stabilisés, nous surplombons la vallée verte et riche de plantations. La balade fut éprouvante mais on fut largement récompensé de nos efforts !
Nous nous sommes arrêtés dans une rizière pour observer des agriculteurs. Certains étaient en train de passer la charrue avec des water buffalos (sorte de vache gris-marron avec de grosses cornes) et d’autres de mettre en forme les bottes de paille. L’un des agriculteur a même passé la main à Pierre pour labourer, mais le test n’a pas été concluant, le water buffalo voulait quitter le champ ! Ils étaient amusés de nous voir les observer.
Puis nous avons longé la rivière pendant une quinzaine de kilomètres. Heureusement sur le chemin, nous avons rencontré une chinoise qui nous a guidés dans les chemins serpentant la plaine.
Puis nous avons monté dans les terres, et monté n’est pas un vain mot ! Sur des chemins de mauvaise qualité, nous nous retrouvons dans un no man’s land bordé de rizières et de plantations de clémentiniers. Heureusement qu’il y avait des habitations de temps en temps pour nous indiquer le chemin. Après une dizaine de kilomètres de chemins abrupts et non stabilisés, nous surplombons la vallée verte et riche de plantations. La balade fut éprouvante mais on fut largement récompensé de nos efforts !